Biograph(ie-ph)otos

2015 : HUAWEI P8 Lite
Finalement, ça devait arriver… Je continue de penser que le smartphone est à la photo ce que la restauration rapide est à la gastronomie, mais que faire quand on n'a que son téléphone et qu'une vision vous vient ? (vision d'un champ tout près de chez moi lors d'une "sortie" pédestre)


2011 : CANON EOS 550D. Oui... j'ai craqué !
Deux visions des premiers essais de la bestiole capteuse : du bleu et de l'orange (St Médard en Jalles et Sarlat).


2009 : NIKON D700 prêté. (C'est à ça qu'on reconnaît un vrai ami !)

Deux des toutes premières visions captées avec cette merveille bien au dessus de mes capacités techniques : notre copine Croc l'écureuil devant notre cuisine (recadrée) et de l'ordre coloré à Andernos.


1994 : CANON EOS 100.

Deux photos de la première pellicule : peintres de bateau à Algésiras (Espagne) et l'agave le plus photographié (et mal dans mon cas !) de Oualidia (Maroc).


1994 : FUJI panoramique jetable...
Premier essai personnel de ce type de capteur de visions en Grèce : le village de Vathia dans le Magne (sud du Péloponnèse) et la plage de Porto Katsiki dans l'île de Leucade.


1986 : OLYMPUS AF1.
Petit appareil (on ne disait pas compact à l'époque) acheté pour faire des photos en courant le marathon de New-York. Deux photos de la première bobine : une rue de Manhattan la veille de la course et le pont de Verrazano pendant la course juste après le départ du marathon.


1979 : CANON AE1, premier appareil personnel.
(Après donc, une longue période sans visions : d'autres chats à fouetter !)
Deux visions de la première pelloche : les joueurs de rampeau (jeu de boules traditionnel des fêtes locales) et deux consuls des vins de Bergerac à travers une machine à vendanger (recoupée)


1964 : toujours le BALDA 24x36.

Première pellicule personnelle. Deux exemples : une photo de la math sup parisienne où j'étais expatrié et un premier essai de vision d'ordre graphique...



1962 : BALDA 24x36 paternel. (Modèle Baldinette de 1951 que j'ai toujours)
P
remière photo : sur commande... familiale ! Les amoureux du Périgord vert auront reconnu un des ponts de Brantôme.